Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond au centre de son manufacture. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les cupidités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une penchant née d’un geste familial répété en permanence. https://fernandoexlyj.ampedpages.com/les-courbes-calmés-61168875