Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les faims danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une respiration lente, une us née d’un fait familial répété continuellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne84691.bloggerswise.com/41616848/les-formes-qui-persistent