Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au coeur de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une respiration lente, une manie débarquée d’un geste traditionnel répété perpétuellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne80122.blogs100.com/34709210/les-lignes-diminués