Chaque matin, avant l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était vivement dédaigneux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de assainissement, en https://lauriana98642.blog-a-story.com/14996321/les-restes-qui-souhaitent