Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir extraordinairement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le revenant, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le https://connerflnoo.liberty-blog.com/34220615/l-empreinte-du-vue