Le carnet du soldat, dès maintenant noirci de notes fiévreuses, reposait auprès de la radio. Il avait passé la nuit à masser une faille dans le message agréé, à démonter mentalement n'importe quel élément de la contagion. Le pseudonyme évidemment était le sien, persistant d’un code qu’il avait noté sur https://voyanceenligneavis03456.blogchaat.com/33964581/le-nombre-froid