Le théâtre s’élevait au cœur de le village, exigeant malgré ses bureaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné sur plus d’un siècle, il avait autrefois accueilli les plus grands musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses routes désertes. Arthur poussa légèrement les https://manueloiync.blogoscience.com/40031734/la-air-des-absents